5 mai 2012 Je me présente chez Maître OZ, c’est avec plaisir que Maître m’offre à boire. Maître me réclame le cahier de punitions, je le lui tends. Maître me félicite pour la tenue correcte du cahier. Puis Maître engage la conversation sur les élastiques « Pourquoi dis tu, elle en parlant des élastiques

• Mais Maître on dit une élastique
• Ha non ! un élastique
• J’ai toujours dis une élastique Puis Maître me parle de nouilles carrés qui sont des élastiques, je pense aux nouilles comestibles, ce qui me fait éclater de rire. J’ai peur que Maître le prenne mal, mais non, il rit de bon cœur avec moi.

Ensuite Maître m’ordonne de me déshabiller, je m’exécute, Maître m’autorise à garder le string. Comme d’habitude, je dois me mettre les bracelets aux poignets ainsi qu’aux chevilles. « Mince, je ne sais plus lesquels je dois mettre aux poignets, les fins ou les épais » Maître me réponds « débrouille toi, je ne vais pas attendre longtemps » Apres quelques instants d’hésitation, je mets les fins aux poignets. Maître me lance des élastiques que j’ai amenés sur son ordre. Ce qui me fait ralentir la pose des bracelets. Lorsque ceux-ci sont posés, Maître me met debout et attache les poignets ensembles. Ensuite, Maître me bande les yeux avec un foulard noir. Maître pose un cintre porte jupe sur les seins muni de poids. Ainsi parée, Maître commence la séance de punitions La séance commence par un lancé d’élastiques, qui atterrissent n’importe d’où sur le corps, sur le dos, sur les fesses, les cuisses, les jambes. J’essaye d’esquiver mais les élastiques atteignent une partie du corps dont je ne soupçonne pas Je bouge dans tous les sens c’est peine perdu car je les reçois quand même. Maître n’est pas content car je gesticule beaucoup. Lorsque le dos est bien rouge, Maître me demande d’être face à lui. Ayant les yeux bandés, je me dirige au son de sa voix. Maître reprend le jeu du lancé d’élastiques. Lorsque qu’un élastique atteint l’une des pinces des seins, je pousse un cri de douleur, me faisant regretter d’avoir apporté la boîte d’élastiques. Maître prend plaisirs, il continue son jeu. La douleur se fait sentir, et mes larmes comment à couler par la quantité reçues d’élastiques. Maître enlève le foulard de mes yeux, ajoute un élastique au crochet du porte manteau et je dois le tenir dans la bouche. Maître sort alors le fouet, et me donne des coups, dès les premiers coups affligés, je bouge je cris, l’élastique tombe de ma bouche Maître n’est pas content, Maître me remet l’élastique dans la bouche et reprend le jeu des élastiques et la cravache en même temps, mais je continue à bouger, à gesticuler dans tous les sens. C’est alors que Maître rajoute des pinces sur mes seins, et les enlève à l’aide du fouet, j’esquive le coup, en me tournant, celui-ci atterrit sur le dos. Donc les pinces sont toujours là. Le regard du Maître me fait comprendre qu’il n’est pas content. Maître m’ordonne de ne plus bouger. Le coup part, au même moment, je bouge. Maître n’attends plus que je me remette en position, il me fouette sans interruption les pinces finissent par tomber. Pour me punir d’avoir beaucoup bougé, Maître met une pince à linge sur la chatte et tente de l’enlever avec le martinet. Mais je serre les jambes je sens la colère de Maître, il réussit à l’enlever au bout de quelques tentatives. Pour terminer la séance, Maître attrape le crochet du porte manteau qui est toujours sur mes seins et me fait avancer, puis reculer, de temps en temps avec sa délicatesse, il lâche le crochet « aïe ». J’ai apprécié cette petite ballade. Son regarde me fait comprendre que je ne dois pas me plaindre. Maître finit la séance par une série de fessées. Maître me fait asseoir sur la banquette, me délivre du cintre porte jupe, et pince mes tétons endoloris. J’apprécie malgré la douleur. Merci Maître pour cette punition. Je crains le pire pour la prochaine séance, car d’après les dire de Maître, j’ai été exécrable pendant la punition.